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Études
Tsiganes
n°8 (2/1996)
L'école
sur le vif
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Le
sait-on suffisamment ? Les enfants des familles du voyage :
Manouches, Gitans, Rom, Yénish se plaisent à l'école.
Il faut qu'elle soit accueillante à leurs expressions,
qu'elle les comprenne et qu'elle favorise leur imagination créative.
Des enseignants l'ont compris, qui n'ont pas désarticulé
l'écrit de la danse ou de l'image, ni la lecture du dessin
ou de la peinture.
Des enfants s'expriment, racontent leurs cultures, affirment
leur identité ou les ignorent, s'ouvrant à la
société et à la modernité. Mais
ils écrivent, dessinent, peignent, enfin rassurés
par la transparence d'une école qui ne les dédaigne
plus. |
Sommaire
Editorial
Hommage (p. 4) Bernard Provot
1. Le détour culturel
Les uns par les autres (p. 9) Charles Gardou
Des enfants et des classes (p. 15) Marie Cannizzo
2. Le vécu identitaire
La Peinture, la Musique, la Danse, la Photo (p. 40)
Les enfants des écoles d'Orléans, de Mont-de-Marsan,
de Toulouse, de Bordeaux, d'Evreux
Les Textes libres, le Journal, les Albums, les Contes (p.
66)
Les enfants des écoles de Lyon, de Mont-de-Marsan,
de Perpignan, de Besançon, de Toulouse, de Tours,
de Grenoble, de Pontoise, de Saint-Genis Laval, de Décines
Point de vue
Du mythe fondateur à l'intégration scolaire
(p. 150) Pierre Mayol
Les écoles (p. 160)
Lire,
écouter, voir
(p. 161)
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Revue
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